dimanche 28 août 2011

AUDE MOREL, Juge des Enfants au T.G.I de Meaux (77)

Juge des Enfants TGI de Meaux: Compte rendu d’audience du 10/12/2010

Juge des Enfants TGI de Meaux


Affaire placement de l'enfant Sxxxx Bxxxx


Le 10 Décembre 2010, Mlle Karine DELVALE est devant le bureau du Juge Aude MOREL.

Elle y retrouve l’avocat qui lui a été désigné : Maître Franck MOULY .
Ce dernier tente, à maintes reprises de la convaincre d’être prudente étant donné « les classements sans suite ».

(De deux choses, ou Maître Franck MOULY n’a lu qu’une partie du dossier, ou il s’est trompé de client, puisqu’il ne fait aucun état des auditions particulièrement claires de l’enfant, concernant les abus sexuels de son père, à son endroit.)

Quand Sxxxx arrive, il semble prostré, baisse la tête et ne regarde pas sa maman après quatre mois de séparation.
Il finit par aller lui dire bonjour.

Mme Nathalie ATTALI chef de service du foyer de l’Enfance de MEAUX intervient : « Sxxxx, tu vas dire bonjour à ton père » .
Mme Nathalie ATTALI se dirige vers Philippe BEYER accompagné de son avocate Maître Marielle TRINQUET (S.O.S PAPAS).
Les échanges de courtoisies laissent à penser que Mme Nathalie ATTALI, chef de service du foyer d’Orgemont à MEAUX, est une grande amie de Philippe BEYER et de son avocate …
La chef de service est accompagnée de l’éducatrice du service de Sxxxx , Kathia qui depuis des mois souffle à Sxxxx ce qu’il doit dire et ne pas dire au téléphone, à sa mère.


(Juste avant l'audience, l'association ESPOIR de Coulommiers qui suit Sxxxx en AEMO depuis décembre 2009; a faxé sa note « pour avis », concernant le placement de Sxxxx.
Cette association est à l’origine de deux signalements au Juge des enfants, M.Guillaume MAGGI en Juillet 2010.
Dans cette note, il est question des désirs et des inquiétudes de Sxxxx.
« Sxxxx exprime qu'il ne veut pas vivre au foyer mais chez ses parents, et quand son éducatrice Mme JOSSE lui demande : c'est à dire ? Il répond: "je veux vivre chez ma mère toujours".

L'association ESPOIR insiste sur le fait que Sxxxx a un fort désir de retourner chez sa mère. Mais également qu'il veut voir son père, sa belle-mère et son frère Rxxxx en lieu médiatisé.
Il ajoute qu’il craint de revoir son père.
La note établie par l'éducatrice de Sxxxx, Mme JOSSE, contrairement au Foyer de l'A.S.E ,
se contente de préciser les souhaits de Sxxxx sans apporter de jugement sur l'un ou l'autre parent.

Très curieusement, la Juge Aude MOREL n'a pas convié l'association ESPOIR à cette audience du 10 Décembre 2010.
Il est très intéressant de constater que la juge des enfants écarte radicalement les pièces, voire les intervenants qui démontrerait un obstacle au retour de Sxxxx chez son père !)


La juge Aude MOREL va, tout d‘abord, s‘entretenir, en privé, avec Sxxxx et son avocat.

A la suite de quoi, Mme CARPENTIER de l’ASE , Mme Nathalie ATTALI du foyer vont entrer dans le bureau, suivis par les parents et leur conseil.
La substitut, Céline BUCAU, représentant le Ministère public est déjà là!
L’enfant est parti.

En préambule, , la juge Aude MOREL explique devant l’assemblée que, sous la responsabilité de Mlle Karine DELVALE
- Sxxxx souffre.
- Sxxxx va finir par être «déglingué» (???).

(La juge Aude MOREL manque de perspicacité et a, le même discours que Me MOULY, l’avocat désigné .........de la mère !!!!!
Il y a, en effet, inversion des rôles, à savoir que le parent protecteur serait, sans aucune explication (et pour cause !!!), l’agresseur, l’oppresseur !!!!
L’enfant se plaint depuis huit longues années, devant les gendarmes, la police et les différents juges, mais aussi les éducateurs, des agressions sexuelles de son père, qui, a deux reprises, a demandé son placement .
Sxxxx, de ce fait, peut, effectivement , être très perturbé......... On le serait à moins !!!!!)



La maman de Sxxxx répond à la juge qu’elle n’a fait que son devoir de mère, qu’elle a tout tenté pour protéger son enfant, et qu’elle a interpellé les personnes qu’il fallait à chaque fois que cela a été possible.
Mlle Karine DELVALE rappelle que différents intervenants, médecins, enseignants, éducateurs, ont aussi fait, de leur côté, des signalements alarmants.

D’un revers de main, la juge Aude MOREL écarte tous les documents, expertises psychiatriques, attestations, rapports, jugement, faisant état des traumatismes d’origine sexuelle subis par Sxxxx.
Par contre la juge s’est épanchée sur le fait que la maman de Sxxxx est fusionnelle avec son fils, et qu’elle a de l’emprise sur lui.

(il est à noter que ce type d’insinuation revient régulièrement dans les dossiers soutenus par SOS PAPAS)

Karine DELVALE répond que pour avoir de l’emprise sur son fils, il faudrait, avant tout, qu’elle le voit. Ce qui n’est pas le cas puisque le juge Cristofe VALENTE lui a supprimé tous ses droits, pour les donner au présumé violeur et ce, depuis quatre mois.

La juge Aude MOREL ajoute que Sxxxx dit des « choses » à sa maman : des confidences concernant les agressions sexuelles. Mais ces déclarations, ne seraient, en fait, que pour faire plaisir à sa maman et répondre à ce qu’elle veut entendre!!!!!!!!!

Karine DELVALE répond que les deux expertises ordonnées à son endroit, démontrent que son comportement en général, mais aussi en particulier vis à vis de son fils, est parfaitement normal.

A la suite de quoi, la juge Aude MOREL demande à la maman de Sxxxx si elle a bien compris ce que la justice voulait lui dire : « la justice vous dit qu’il ne s’est rien passé, Madame ».

Karine DELVALE répond que la justice met tout en œuvre pour écarter ses plaintes faites devant la Police Nationale ainsi que les nombreux signalements, et évite de noter les gardes à vue de M.Philippe BEYER ainsi que l’I.P.C (interrogatoire de première comparution) devant le Juge d’instruction de CHAMBERY. Toutes ces actions arrivent aux mêmes conclusions : il y a bien agressions sexuelles de la part du père.
Qui protège l’agresseur puisqu‘il n‘est jamais poursuivi, et pire, obtient la garde de la victime ??

La juge Aude MOREL n’entend pas et précise que Sxxxx est clair dans ce qu’il dit : il ne veut plus rester placé, il veut vivre avec son père et voir sa mère en lieu médiatisé.

(l'association ESPOIR de Coulommiers qui suit Sxxxx en AEMO depuis décembre 2009, a déposé, avant l'audience et par fax, une note attestant le contraire !!!!)

Karine DELVALE répond que c’est très surprenant. En effet, c’est exactement la demande de M.Philippe BEYER , le père présumé violeur, et celle du Ministère Public de MEAUX!
Serait-ce une coïncidence !!!!!!!

(Sxxxx réclamerait pour subir le présumé violeur !!!!!!!!!!!! )


Philippe BEYER prend la parole, et dit qu’il veux le bien-être de Sxxxx, qu’il n’a pas de haine vis à vis de Mlle Karine DELVALE , mais qu’il veut avoir la garde de Sxxxx qui verra sa mère en lieu médiatisé.


L’avocate, du présumé violeur, Maître Marielle TRINQUET reprend les demandes de son client et ajoute que Karine DELVALE a des problèmes "pathologiques".

(sachant qu’il est produit, dans la procédure, deux expertises qui affirment que Karine DELVALE n’a aucun problème. L’avocate s’auto proclame donc « expert psychologue en chef» ......pour les besoins de la cause !!!!)

Puis vient le tour de Mme Nathalie ATTALI, chef de service au Foyer de l’Enfance de MEAUX .
Elle insiste pour expliquer que les retrouvailles de Sxxxx avec son père ont été très chaleureuses,
- « ils se sont jetés dans les bras l’un de l’autre ».
- « Philippe BEYER, au téléphone, appelle plus souvent, Sxxxx que sa maman,
- « Philippe BEYER est plus démonstratif que la maman de Sxxxx ».
Mme Nathalie ATTALI précise que Sxxxx n’a pas eu d’encoprésie, bien que la maman a été informée que Sxxxx a fait de l’encoprésie au foyer durant son passage ( ??????)
Par ailleurs, Mme Nathalie ATTALI affirme que quinze jours avant l’audience, Sxxxx a souhaité aller à la police pour dire qu’il ne s’était rien passé avec son père, et que c’était sa mère qu’il lui avait demandé de dire ça ».

(Sxxxx serait donc devenu amnésique, pour oublier : les auditions réalisées dans divers commissariats, et ses déclarations aux enseignants, éducateurs et médecins, qui eux, ne sont pas contentés des déclarations de l‘enfant, pour constater les blessures annales, entre autres)

Philppe BEYER a déjà effectué une première visite au sein du foyer de l’enfance.
Mme Nathalie ATTALI précise qu’elle a encouragé cette visite, mais aussi la psychologue du centre, malgré les auditions qui révélaient les viols de Sxxx par son père et l’avis clairement défavorable de l’ASE.

(Soxxxx a régulièrement exprimé ses craintes de voir son père) .

Karine DELVALE précise que Sxxxx s’est confié à son éducatrice en charge de l’AEMO : « il voulait voir sa mère et pas son père, et qu’il en avait marre qu’on lui demande sans arrêt au foyer, s’il voulait voir son père».
Mme CARPENTIER référante de l’A.S.E, se montre favorable à un prolongement du placement avec des visites médiatisées pour les deux parents.

Le Ministère Public, Céline BUCAU évoque le fait que Sxxxx est « englué » dans un conflit parental, en omettant de préciser, que si le Parquet de BOBIGNY avait interpellé Philippe BEYER en 2002, Sxxxx n’aurait pas continué de subir ces présumés viols durant huit ans.
Le Ministère Public, Céline BUCAU, avance le fait que la maman de Sxxxx n’arrive pas à se remettre en question.
http://copainsdavant.linternaute.com/membre/9975130/1875870328/celine_bucau/
(doit-elle accepter les différentes tentatives de légalisation de la pédophilie ?)

Le Ministère Public dit qu’il s’oppose à l’A.S.E (fait rarissime !) et se dit favorable au retour de Sxxxx chez son père.
Le Ministère Public, Céline BUCAU, répète, à plusieurs reprises, en direction de Karine DELVALE : « Madame il ne s’est rien passé ! ».
Le Ministère Public, Céline BUCAU, ajoute qu’il modifiera la formule du classement, à savoir :
« l’examen de cette affaire n’a pas permis de caractériser suffisamment l’infraction pour permettre d’engager la responsabilité pénale du ou des mis en cause »,
qui sera remplacée par la formule suivante :
« il ne s’est rien passé ».
Le Ministère Public, Céline BUCAU, demande, tout de même, ....... une AEMO .....« pour aider le père » (?????)


( il est bon de noter que le procureur Christian GIRARD, de MEAUX, est « soutenu » par l’association SOS ¨PAPAS.
L’association SOS PAPAS conseille aux pères de kidnapper les enfants, de porter plaintes systématiquement quand une mère alerte les autorités compétentes sur des faits d’abus ou de viols sur mineurs, afin que la mère aille en prison et les enfants soient placés.
Cette association revendique le S.A.P (syndrome d’aliénation parentale) défendu par GARDNER qui consiste à autoriser toutes les déviances sexuelles entre adultes et mineurs, et écarter toutes les personnes qui s’opposent à cette « manière de vivre ».
La mère qui refuserait cette pédophilie incestueuse serait qualifiée d’hystérique et ferait preuve, en protégeant son enfant ,« d’aliénation parentale ».
Cette thèse, parfaitement contraire à la morale la plus élémentaire, est donc une supercherie qui tend à protéger les agresseurs d’enfants. Elle est depuis longtemps discréditée partout dans le monde.)


Philippe BEYER a été défendu par Maître MEJEAN en 2002 qui était conseil chez SOS PAPAS. Puis, depuis 2007 à ce jour par Marielle TRINQUET avocate chez SOS PAPAS.)



La Juge Aude MOREL et le Ministère Public, Céline BUCAU, expliquent qu’il n’est pas souhaitable que Sxxxx vienne en hébergement chez sa maman, puisque, quand il y va longtemps, « il y a des problèmes ».

(Devant le Ministère Public, Céline BUCAU, et la Juge MOREL, Karine DELVALE serait donc coupable d’avoir protégé et fait soigner son enfant depuis 2002. Il y a volonté manifeste d’écarter toutes les preuves qui tendent à démontrer que Sxxxx a bien été violé depuis 2002) .

vendredi 26 août 2011

Crime en bande organisée au TGI de Meaux (77)

TROYES, le 20 août 2011


Karine DELVALE
XXX axxxxx xxxxx xxxxxxxxxxx
10000 TROYES

Monsieur le Président
Conseil Supérieur de la Magistrature
20 avenue Ségur
75007 PARIS


Lettre ouverte recommandée avec AR 

Monsieur le Président,

Concernant une affaire de viols sur mineurs, je viens ici déposer deux plaintes :

La première à l’encontre de Monsieur , Président du T.GI de Meaux et de Madame Aude MOREL, juge des enfants.

Jean-Michel Malatrasi, président du tribunal de grande instance de Meaux (77) ...



La deuxième, à l’encontre de Monsieur Christian GIRARD procureur de MEAUX (77) au titre de l’article 43 de l’ordonnance du 22 décembre 1958 portant Loi organique relative au statut de la magistrature qui dispose comme suit : " tout manquement par un magistrat aux devoirs de son état, à l’honneur, à la délicatesse ou à la dignité, constitue une faute disciplinaire " ; et précise que "toute violation grave et délibérée par un magistrat d’une règle de procédure constituant une garantie essentielle des droits des parties, constatée par une décision de justice devenue définitive " constitue un manquement au devoir de l’état du magistrat.

Monsieur le Premier Président , malgré les signalements de dysfonctionnements dans les décisions de la juge Aude MOREL, n’a pas jugé utile d’intervenir.

Jean-Michel Malatrasi, président du tribunal de grande instance deMeaux (77)...

Pire puisque j’ai été radicalement sanctionnée dans la mesure où les seules visites médiatisées qui m’étaient attribuées dans le jugement du 10 décembre 2010, m’ont été refusées dans les faits.

Je n’ai plus aucun contact avec mon fils Sxxxx BEYER-DELVALÉ à quelque niveau que ce soit depuis décembre 2010.

Je suis par ailleurs convoquée devant le JAF du Parquet de Meaux , aux seules fins de me retirer définitivement mon autorité parentale.


Pour ce qui concerne ma plainte contre Christian GIRARD procureur de MEAUX (77) :

En effet, suite à la communication du dossier en date du 19 août 2011, je vous fais parvenir les pièces ci-jointes.

Vous relèverez que toutes ces pièces ont été authentifiées par
de la partie adverse.

Premier élément : classement sans suite pour infraction insuffisamment caractérisée (Pièce N°1).

Deuxième élément : classement sans suite, absence d’infraction (Pièce N°3).

Troisième élément : courrier de Christian GIRARD procureur de MEAUX (77) adressé exclusivement à Philippe BEYER (Pièce N°2), père de mon fils Sxxxx, je cite : "Vous avez fait l’objet d’une enquête de police judiciaire, à la suite d’une affaire de Viol sur mineur.
Ces faits constituent un délit punissable d’emprisonnement et d’amende. Ils pourraient entraîner une condamnation pénale inscrite à votre casier judiciaire.
Toutefois, à titre exceptionnel, j’ai décidé de ne pas donner de suite pénale à la présente procédure, j’espère que vous tiendrez compte du présent avertissement.
Si vous commettiez une nouvelle infraction, je serais amené à reconsidérer ma décision et engager des poursuites ".
Vous relèverez que Christian GIRARD procureur de MEAUX (77) a pris l’initiative de mentir dans le seul but de protéger un prédateur avéré.
D’autant, que Christian GIRARD précise : " Si vous commettiez une nouvelle infraction (viol sur mineur), je serais amené à reconsidérer ma décision et à engager de nouvelles poursuites ".
Les déclarations de Christian GIRARD procureur de MEAUX (77) pour les viols sur mineur, relevant de la Cour d’Assises, sont particulièrement irresponsables dans la mesure où il déclare un viol sur mon fils sans respecter devant la loi de protéger mon enfant.
Non content d’avoir requis le 10 décembre 2010, la garde exclusive de Philippe Beyer
pour notre fils Solal ; Christian GIRARD s’était pourtant engagé à de nouvelles poursuites concernant Philippe BEYER (alors qu’il n’a jamais engagé de poursuites à l’égard de celui qu’il reconnaît coupable d’infraction de viol sur mineur) ; il a donné les ordres au Parquet pour affirmer une troisième audition réalisée sur ses ordres, alors que cette audition n’existe pas.

Devant les faits avérés de viols sur mineur par la personne de Philippe Beyer sur mon fils Sxxxx BEYER-DELVALE, je demande à votre haute autorité d’agir expressément vu l’urgence du danger qu’encourt mon enfant depuis le retour chez son père le 10 décembre 2010.

Je vous informe qu’en parallèle ledit violeur, Philippe Beyer reconnu par le T.G.I de Meaux requiert devant le JAF(2ème Chambre - cabinet 4 - salle C)le jeudi 01er septembre 2011 à 15h30 (pièce N°8), aux seules fins de me retirer mon autorité parentale.

Vu la gravité des faits, je sollicite votre autorité afin que mon fils soit mis rapidement en protection à mon domicile au titre de l’article 2 de l’ordonnance du 23 décembre 1958 relative à la protection de l’enfance et de l’adolescence en danger comme l’avait fait Guillaume MAGGI en date du 29 juillet 2010 suite aux nouvelles révélations de viols subis par mon fils (Pièce N°6).

Je vous demande de poursuivre Monsieur le Président , et Madame Aude MOREL, juge des enfants du T.G.I de Meaux, ainsi que Christian GIRARD procureur de MEAUX (77) pour avoir commis des fautes graves dans l’exercice de leur fonction :

Jean-Michel Malatrasi, président du tribunal de grande instance de Meaux (77)...



Déclarations d’absence de viols sur mineurs malgré les faits avérés relevant de la Cour d’Assises.

Pour avoir donné la garde exclusive au violeur reconnu (pièce N° 7).

Pour avoir délibérément écarté des auditions du 27 juillet 2010 et 04 octobre (pièces n°4 et 5)

Pour avoir affirmer une troisième audition dans laquelle mon fils Sxxxx serait revenu sur ces déclarations, alors même que cette troisième audition n’existe pas.

S’agissant de viols répétés sur mineur, les faits sont particulièrement graves.

Des magistrats du T.G.I de Meaux se sont associés dans un crime organisé.

Les faits, puisqu’ils confortent le crime de viols sur mineur relèvent, si ce n’étaient des magistrats, de la Cour d’Assises.

J’attends à ce que vous preniez les mesures efficaces afin d’écarter de tels magistrats, et que mon enfant soit enfin mis sous ma protection.

Toute décision allant dans le sens d’une protection vers le foyer de l’enfance n’est pas acceptable. En effet, lesdits services après avoir faits des signalements qui s’imposaient relatifs à des viols sur mineur, se sont finalement rangés à l’avis des magistrats criminels.

Je compte sur la rapidité de votre intervention. 

Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à mon plus grand respect. 

Karine DELVALÉ




COMMENTAIRE :
Les individus, cités ici et impliqués dans cette affaire de viol sur mineur, occupent des fonctions importantes au sein des services de justice : Président de Tribunal de Grande Instance ( Meaux 77) , Procureur de la République ( Meaux 77).
"Le procureur Christian Girard a tout aussi chaleureusement accueilli le nouveau président qu'il a côtoyé dans le Var" (archives Le Parisien).
Et il est démontré, que pour avoir assuré une protection inconditionnelle d'un pédo criminel reconnu, ces individus doivent faire l'objet d'une enquête, que devra aboutir à une inculpation, des sanctions pénales, la radiation des services de l’État.
Les faits reprochés relèvent de la Cour d'Assise.
Ces individus sont, à leur tour protégés par des magistrats de très haut niveau, ayant des fonctions syndicales importantes .
A ce titre, nous avons régulièrement interpellé Jean-Pierre Rosenczveig
président du Tribunal pour enfant de Bobigny depuis plus de 20 ans, Président de la section française de la Défense internationale des enfants, mais aussi Président d'honneur de l'association ESPOIR et représentant syndical puissant au sein des services de justice.

Jean-Pierre Rosenczveig ne s'est jamais manifesté .


Marielle TRINQUET, avocat de Philippe BEYER , prétend avoir des convictions:
"Nombreux sont les cas d’espèces dans lesquels un parent sollicite judiciairement la suspension du droit de visite et d’hébergement de l’autre parent en prétendant vouloir ainsi rompre toute relation entre ce parent et l’enfant.

Ces stratégies d’exclusion d’un parent sont dévastatrices pour l’enfant qui est ainsi privé de l’un de ses parents si le Juge fait droit à cette demande de suspension

La Cour de cassation aux termes d’un arrêt de principe en date du mars 14 mars 2006 a ainsi du rappeler que ce droit de visite et d’hébergement ne peut être suspendu que pour des motifs graves tenant à l’intérêt supérieur de l’enfant.

Les relations parents-enfants doivent ainsi être protégées au titre des droits fondamentaux.

18 décembre 2010".
Malheureusement, il en est tout autre, dans les faits.
Marielle TRINQUET s'attache à exiger la garde exclusive au bénéfice du pédo criminel reconnu, et, dans le même temps interdire tout contact avec l'enfant abusé, du côté du parent qui souhaite protéger son enfant. Cela évite, en effet, toute nouvelle révélation de la part de l'enfant torturé.



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Camille et les autres a dit…
Sur la photo on peut reconnaître Max Piselli ... Il manque au tableau son ami Francis Pizzorno ! Qui se ressemble s'assemble , à moins que ce ne soit le contraire !

jeudi 18 août 2011

RESEAU PEDOPHILE: Le T.G.I de Meaux donne sa bénédiction pour les violssur mineurs dont accusé Philippe BEYER


Au mois d'octobre 2010, après quelques heures de garde à vue,Sophie DEMANGEOT substitut à Meaux , chargée des Mineurs, téléphone à la gendarmerie de La Ferté sous Jouarre pour lever la garde à vue de Philippe BEYER. Ceci malgré les révélations détaillées de Sxxxx BEYER-DELVALE aux policiers de Troyes, à son éducatrice Mélanie JOSSE (Espoir), aux gendarmes de La Ferté sous Jouarre, et le dossier médical (2002 à 2010)de l'enfant.

Le 24 novembre 2010, le Parquet de Meaux écrit à Philippe Beyer que le procureur, Christian Girard a été saisi d'une enquête pour des faits de viols sur mineurs. Il rappelle les peines encourues pour de tels crimes.
Et le parquet de conclure, qu'exceptionnellement (cela fait 10ans que ça dure !!!), il classe les crimes dont Philippe BEYER serait l'auteur, mais il ne faut pas qu'il recommence....
Mieux pour blanchir le pédocriminella juge Aude MOREL au T.G.I de Meaux, invente une troisième audition de l'enfant qui bien entendu n'a jamais eu lieu; et ce aux fins de conforter la décision d'accorder la garde de l'enfant au père incestueux.
Le caporal Alexandre FERIN, représentant la police de quartier des Chartreux de Troyes (quartier chaud!) va devoir calmer ses ardeurs dans la mesure où il vient régulièrement menacer Madame DELVALE à son domicile, pour soutenir une pension alimentaire au bénéfice du présumé violeur !!!
Il faut savoir que Christian Girard , procureur de Meaux, est un des mentors du petit caporal en question.
Que pense Jean-Pierre Rosenczveig de cette corruption active ???


Camille et les autres a dit…
Merci pour cette mise en lumière ! Girard, Girard, ça me dit quelque chose: ah oui! Draguignan et l'affaire AMIDLISA ! Les pédocriminels se donnent tous les moyens pour établir leur empire, et rien de les arrête, certainement pas leur conscience qu'ils ont tué avec leur honneur et la dignité des victimes. Ils ont vendu leur âme au diable, qu'ils aillent rejoindre leur maître ! J'espère de tout cœur que l'enfant BEYER-DELVALE va ENFIN ÊTRE LIBÉRÉ de SES prédateurs ! En tout cas, je relaye cet article et tous ceux qui lui sont liés, ça fera une bonne pub aux acteurs nommés... Merci pour tout et bonne journée