dimanche 31 juillet 2011

Rupture organisée par Aude MOREL, juge des enfants au T.G.I de Meaux

232 jours sans aucun contact entre S.... et sa maman . Le blocus est fermement maintenu, autour de l'enfant .

LE BLOCUS : Jean-Pierre_Rosenczveig (Président de l'association ESPOIR CFDJ, Président du Tribunal pour enfants de Bobigny).
Christian GIRARD, Procureur de la République du T.G.I de Meaux, Philippe BEYER, Anne-Claire BEYER ARTAUD, Jean-pierre BEYER, Jacqueline BEYER, André ARTAUD, Brigitte ARTAUD, Patricia MASSON (Cherrueix), Sylviane et Denis MASSON (Montsoult), Valérie DELVALE (Saint-Malo), Françoise MASSON, Laurent AUDRY (association ESPOIR Coulommiers), André MORIN (association ESPOIR Paris), Bruno PLANCHAUD (association ESPOIR Coulommiers), Daniel BARRAUD (l'Arbre Nord, Coupvray) , Sophie ORLHAC (Espoir Provins). Aude MOREL juge des enfants (TGI de Meaux), Vincent EBLE (Conseil Général de Seine et Marne, CG 77), Mathieu SAVARIAU (Inspecteur de l'ASE, Melun).






JEAN-PIERRE ROSENCZVEIG / PHILIPPE BEYER: Fraternité diabolique !!!

... ou comment le syndicat de la magistrature a fait pression sur 9 tribunaux français pour étouffer les viols répétés sur Sxxxx BEYER-DELVALE depuis 10 ans.



Jean-Pierre_Rosenczveig

En exclusivité, vous pourrez découvrir dans quelques jours, tous les noms des tribunaux (T.G.I, Cours d'appels), des magistrats (Juges d'Instruction, Procureurs, Substituts de procureurs chargés des mineurs, Premiers présidents, présidents, Juges des enfants, juges aux affaires familiales), des bâtonniers, des greffiers, des Conseils généraux (présidents, inspecteurs de l'ASE, foyers, chefs de services, éducateurs) des avocats, des associations (PDG, directeurs, chefs de services, éducateurs, familles d'accueils), des services de police (brigadiers chefs des services des mineurs) sur lesquels le syndicat de la magistrature (SM)a mis la pression pour étouffer le dossier Philippe BEYER durant 10ans.

http://www.espoir-cfdj.fr/notre-assoc-aujourdhui.html
http://ponsonjeanclaude.blogspot.com/2010/12/0113-affaire-placement-de-lenfant-sxxxx.html
http://enfantsendanger64.blogspot.com/2011/05/jean-pierre-rosenvczeig-president.html
http://www.numerama.com/forum/topic/48321-monsieur-le-juge-pour-enfantsrosenczveig/
http://en.wasalive.com/fr/alliot-marie
http://en.wasalive.com/fr/magistrats
http://en.wasalive.com/fr/chamb%C3%A9ry
http://en.wasalive.com/fr/personnes







ALEX PERRIN, Procureur du T.G.I de TROYES

ou comment le syndicat de la magistrature a ordonné au Procureur de Troyes de faire pression sur la maman de Sxxxx BEYER-DELVALE qui n' a pas de nouvelle de son fils depuis 7 mois ! ...



TROYES le 21 juin 2011
Alex PERRIN
Procureur de la République
T.G.I
83 rue du Général de Gaulle
10000 TROYES


    Lettre ouverte recommandée avec AR
    Monsieur le Procureur,
    Je reviens vers vous concernant mon enfant Sxxxx BEYER-DELVALÉ.
    Par lettre recommandée du 08 février 2011, je vous ai informé :
    - que Philippe BEYER père de mon fils, a rompu toutes communications entre mon fils et moi-même depuis le 25 décembre 2010.
    - que je n’ai plus de nouvelle de mon enfant depuis le 25 décembre 2010.
    - que je suis également sans information sur sa santé et les diverses décisions à prendre à son sujet au titre de l’autorité parentale.
    Ce sont les raisons pour lesquelles, j’ai sollicité votre autorité afin que mes droits soient respectés et que soient rappelées à Philippe BEYER ses obligations parentales.
    Vous avez donc estimé que ma plainte devait être examinée. Celle-ci a été enregistrée sous le numéro 11 130 00001.
    Je note que c’est l’annexe du commissariat de police qui est chargée de m’auditionner.
    Demeurant au xx avenue Pierre Brossolette à TROYES, le poste de police de mon quartier est le commissariat central rue de la Mission.
    Suite à la convocation du poste des Chartreux, j’ai tenté à maintes reprises de joindre l’annexe afin de convenir d’un rendez-vous : sans succès.
    Et je vous l’ai signalé par courrier du 27 mai 2011. A la suite de quoi, j’ai obtenu un rendez-vous le mercredi 15 juin 2011 avec le brigadier Alexandre FERIN.
    A ce rendez-vous du 15 juin 2011, j’ai pu noter que:
    1. Le brigadier FERIN a refusé de m’auditionner.
    1. Le brigadier n’a pas tenu m’entendre concernant l’absence totale de communication entre mon fils et moi-même, et ce depuis plus de six mois.
    2. Le brigadier a tenu à impliquer l’association censée organiser les visites avec mon fils.
      Pour ma part, j’ai insisté sur le fait que les décisions de la juge des enfants n’étaient pas respectées.
      Mais que cette dernière n’intervenait pas, suite à mes signalements, et ce au mépris des jurisprudences de la Cour Européenne.
    3. Pour appuyer mes dires, j’avais apporté mes courriers de signalements adressés aux différents intervenants et attestant de mes démarches pour avoir des nouvelles de mon enfant. Mais le brigadier FERIN n’a pas jugé utile de les retenir. Je lui ai proposé de vous les envoyer directement, mais il a soutenu que cela ne servirait à rien.
    4. A la lecture, du 10 décembre 2010, le brigadier en a conclu : " on dit que vous êtes trop… trop… " sans qu’il termine sa phrase.
      J’ai été très surprise qu’on en vienne à discuter du jugement du 10 décembre 2010, alors que personnellement je m’attache à faire respecter cette décision au regard de l’autorité parentale et du maintien du lien mère-enfant.
      Mais, le brigadier FERIN ne voulait pas entendre.
    5. D’ailleurs, j’ai indiqué au brigadier que j’avais écris à Philippe BEYER lui rappelant les articles liés à l’autorité parentale. Je l’informais également que je m’opposais aux absences répétées de mon fils à l’école, aux devoirs non faits et à la sortie de territoire. A la lecture d’une de ces lettres, le brigadier FERIN : " vous êtes fermée ". Je lui ai répondu que toutes mes demandes étaient légitimes, et que je ne voyais pas très bien le rapport avec sa conclusion.
    6. Pendant, plusieurs minutes le brigadier m’a demandé de sortir de son bureau afin de prendre contact avec le substitut chargé des mineurs au Parquet de Troyes.
      Quand il m’a fait revenir dans le bureau, il m’a indiqué : "je vais voir…parce que vous auriez eu une visite à laquelle vous ne seriez pas allée ".
      J’ai contesté ce fait que je n’ai jamais eu de visite programmée, et que je suis toujours dans l’attente d’un calendrier.
      J’ai d’ailleurs précisé au brigadier qu’il trouverait tous ces éléments dans mes courriers adressés à l’association.
      J’ai demandé au brigadier FERIN s’il s’agissait d’une information venant du substitut chargé des mineurs au Parquet de Troyes.
      Très embarrassé, Alexandre FERIN m’a répondu : " non, c’est…..euh…euh " en agitant les mains dans tous les sens.
      J’ai donc insisté en demandant de qui il s’agissait, le brigadier a persévéré dans ses gesticulations.
      J’ai rappelé au brigadier, les différents articles qui n’étaient pas respectés, en ce qui me concerne :
      ● 371-1 ● 371-1 372-2 373-2-1  
    7. Alexandre FERIN m’a indiqué que je serai tenue de revenir pour être auditionnée. 
    Car il a précisé : " vous allez revenir parce que je dois me renseigner autour…pour savoir exactement quelles sont vos demandes ".
    Là encore, je lui ai indiqué que je ne voyais pas le but de ce renvoi, mes demandes étant très claires.
    Alexandre FERIN voulait peut-être avoir plus de précisions quant à l’orientation de l’audition.
    Auprès de qui ? Mystère. Et c’est d’ailleurs ce qui ressort de cet entretien : un grand mystère.
    Je note :
    - une audition ordonnée, sans audition.
    - un brigadier chargé qui s’obstine à ne pas retenir l’objet de ma plainte.
    - un brigadier qui refuse les pièces confortant l’objet de ma plainte.
    - un policier qui me trouve " fermée " lorsque je m’inquiète des nombreuses absences scolaires non justifiées de mon fils et des devoirs non faits signalés par le CPE.
    - un brigadier qui prétend des informations révélées fausses et émanant de X. Et un refus catégorique de commenter les articles de Loi précédemment cités.
        En fait, j’ai bien peur de comprendre que le brigadier FERIN tenterait de me conduire dans une voie de garage. Le premier entretien est vide de sens, le deuxième entretien en vue de mon audition n’est pas fixé.
        Par contre, le brigadier FERIN me fait part verbalement d’une convocation pour une autre affaire dont il refuse de me donner l’objet.
        Aujourd’hui, je vous demande d’ordonner mon audition au commissariat central dans lequel se trouvera bien un inspecteur compétent pour m’entendre ; et ce, au plus près de mon domicile.
        L’annexe étant bien trop éloignée de mon domicile.
        Cela fait plus de six mois que je suis sans nouvelle de mon fils, et je maintiens que cette situation est particulièrement préoccupante pour l’équilibre de mon enfant.
        Je vous prie d’agréer, Monsieur le Procureur, l’expression de ma haute considération.

      vendredi 8 juillet 2011

      PEDOPHILIE

       
      La pédophilie désigne une attirance ou préférence sexuelle d'un adulte envers les enfants prépubères ou en début de puberté[1]. Un pédophile est une personne éprouvant ce type d'attirance.

      Selon le critère de l'OMS, les adolescents de 16 ou 17 ans sont aussi classés comme pédophiles, s’ils ont une préférence sexuelle persistante ou prédominante vers les enfants prépubères au moins cinq ans plus jeunes qu’eux.

      Dans la plupart des sociétés modernes, ce type de préférence est considéré comme une perversion sexuelle (paraphilie) et les activités s'y rapportant sont condamnées par la loi. Les passages à l'acte de pédophiles, soit les relations sexuelles entre un adulte et un enfant au-dessous de la majorité sexuelle constituent, juridiquement, des abus sexuels sur mineur, qualification qui peut prendre différentes formes selon la législation et le type d'acte sexuel incriminé.

      La pédophilie est classée comme trouble de la préférence sexuelle (maladie mentale) par la classification internationale des maladies (CIM)[3] et comme paraphilie par le manuel diagnostic et statistique des troubles mentaux (DSM)[4].


      Statue sur le thème de l'esclavage sexuel d'une mineureLes milieux médicaux considèrent que la pédophilie relève de la maladie, de la déviance, de la perversité, en un mot de la psychiatrie, et peut-être du soin. Il s'agit de la thèse la plus reprise dans le discours psychiatrique sur le sujet[5].

      Dans le langage courant, le terme pédophilie est souvent utilisé pour désigner les abus sexuels sur mineur dans leur ensemble[6], quel que soit par ailleurs le diagnostic psychiatrique émis sur les personnes commettant ces faits.
      Le terme pédophilie peut également être utilisé pour désigner la pornographie enfantine et la consommation de celle-ci[9]. Le terme de « pédocriminalité » est, par ailleurs, parfois employé pour qualifier les délits relevant de la pédophilie, qu'il s'agisse d'abus sexuels[10] ou de pornographie enfantine[11].

      Psychopathologie de la pédophilie Viol sur mineure illustré par Martin Van MaeleLa pédophilie rassemble en psychiatrie tout ce qui a trait aux relations sexuelles adultes-enfants. Elle peut être hétérosexuelle, homosexuelle, ou mixte. Elle concerne des hommes comme des femmes de tous âges. Elle peut coexister avec une sexualité par ailleurs normale de l'adulte en cause, ou s'associer à une impuissance, une anomalie anatomique. Elle peut s'exercer au sein des familles, souvent dans le cadre de relations incestueuses, ou dans le cadre d'une fréquentation usuelle des enfants, comme l'école, les mouvements de jeunes — ce que les psychiatres appellent des « structures facilitantes », mais aussi au hasard des rencontres.

      lundi 4 juillet 2011

      VINCENTE EBLE, Président du CONSEIL GENERAL DE SEINE ET MARNE (CG)

       

      0116 Comment recadrer Vincent Eblé Président du Conseil Général 77000 Seine et Marne

      LETTRE OUVERTE à Vincent EBLE , Président du conseil général de 77000 SEINE ET MARNE  

      Monsieur le Président,

      Je reviens vers vous concernant mon fils S.... BEYER-DELVALÉ ;
      Je fais suite à votre courrier que vous avez rédigé le 26 mai 2011………posté le 22 juin 2011….…..en réponse à mon courrier du 18 avril 2011 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

      Dès le 25 janvier 2011, par courrier je vous informais que rien n’était fait pour respecter la décision de la juge des enfants du 10 décembre 2010.
      Et pourtant, votre association et l’association sous-traitant étaient directement visées pour faire respecter le dit jugement, à savoir mes droits de visites médiatisées.
      Il me semble, si je ne me trompe que L'Association ESPOIR Pôle Educatif Coulommiers-Provins ainsi que L'Arbre Nord - Association humanitaire (entraide, action sociale ...à Coupvray, sont placées directement sous votre responsabilité.
      Ce qui veut dire, que vous, Président du Conseil Général, vous n’avez absolument rien fait, si ce n’est de conforter les décisions des dites associations ; à savoir : s’organiser pour me refuser, dans les faits, mes droits de visites médiatisées.

      A la suite des différents courriers que je vous ai fait parvenir, pour informer de la situation:
      - 25 janvier 2011
      - 02 février 2011
      - 16 février 2011
      - 22 février 2011
      - 05 mars 2011
      - 08 mars 2011
      - 16 avril 2011

      avoir le culot de prétendre aujourd’hui, que je refuse de rencontrer les intervenants des dites associations, me semble dépasser tout entendement.
      Alors qu’à aucun moment, il m’a été proposé un calendrier établi, de visites.
      Pire encore, vous n’avez pris aucune décision à l’égard des dites associations qui ont décidé de ne pas appliquer le décision du 10 décembre 2010 de la juge des enfants du T.G.I de MEAUX.

      Durant ces six mois, vous n’avez interpellé aucun magistrat sur la situation traumatisante pour mon fils, au regard des jurisprudences de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, concernant l’inexécution d’un jugement régulant les droits de visites entre un enfant et l’un de ses parents.
      Ce qui était de votre devoir et dans vos prérogatives.
      Vous n’avez pas pris la peine de lire les copies des courriers que je vous ai adressés concernant les dites associations et également Philippe BEYER ayant la garde de mon fils.
      Si vous n’aviez pas lu mes courriers en diagonale (si vous les avez lus évidemment), vous seriez parfaitement informé de la situation, à savoir que mes droits de visites avec mon fils, ainsi que mon exercice de l’autorité parentale, n’étaient pas respectés.

      Concernant vos affirmations, je suppose que vous faites référence aux dires des dites associations, sans prendre la peine de vérifier.
      Vu de la lune, sans aucun doute votre résidence principale, il est bien certain que votre discernement est visiblement troublé.
      Dès votre retour sur terre, vous conviendrez que tous mes courriers sont très clairs et que je veux obtenir, à toute force, l’application du jugement du 10 décembre 2010, concernant mes droits de visites et l’exercice de mon autorité parentale. Et ce dans les plus brefs délais.
      Si vos intentions étaient de vous moquer délibérément de mes droits comme vous le faites depuis six mois, je n’aurais pas d’autres choix que de le faire savoir.

      Par ailleurs, je tiens à vous donner les dernières informations vérifiables concernant l’état de santé de mon fils.
      Il est particulièrement alarmant : à savoir, que les enseignants se plaignent, de façon récurante, d’une agressivité insoupçonnable de la part de mon fils et ce, depuis le mois de mars 2011.
      J’ai moi-même pu vérifier, avec mon entourage, un comportement tout à fait hystérique de la part de Sxxxx.
      La Cour Européenne a déjà vérifié les conséquences graves des traumatismes résultants d'une rupture définitive imposée à un enfant vis à vis d’un ou des deux parents.
      Si les dites associations, dont vous êtes responsable, avaient la moindre compétence professionnelle, mais aussi un sens du devoir, il ne fait aucun doute que ce genre de situation ne pourrait en aucun cas être constatée.
      Je compte sur votre humanisme pour faire diligence et rétablir l’ordre.

      Salutations